Nicolas Sarkozy est celui qui a guidé mon engagement politique avec Christian Estrosi. Il incarne le rassemblement de la droite dans toute sa diversité.
Souvent caricaturé, il a pourtant été à l’origine d’un bon nombre de mesures d’aujourd’hui. Il a su soulever sans ambages ni langue de bois les vrais problèmes auxquels fait face la France. Il a toujours su, à la tête de l’Etat comme de son parti, faire appel aux talents de diverses sensibilités.
Dans ces temps troublés, ce fut un plaisir d’échanger avec celui qui m’a donné l’envie et la passion de la chose publique. Quelles que soient nos convictions, nos valeurs, nos ambitions pour la France, n’oublions pas qu’il a été le président de la méritocratie, celui des internats d’excellence, des heures supplémentaires défiscalisées, de l’autonomie des universités, à l’initiative du Grenelle de l’environnement et des plans Cancer et Alzheimer.
Dans tout bilan, on pèse le pour et le contre. Je crois qu’il est parfois important de rappeler les bonnes choses à ceux qui, aujourd’hui, dépeignent un tableau plus sombre que la réalité.